"Justice delayed is justice denied," wrote British Prime Minister
William Gladstone toward the end of the 19th century. This ethical call
for
prompt action has been repeated generation after generation
by radicals and would-be reformers of the Anglo-Saxon judicial system
who as yet have adopted no cosmology upon which to rely for "final
justice". The simple fact is that
immediate inaction is
positive reinforcement; it is often sufficient to guarantee success
for the most flagrant episodes of injustice, cruelty, and
irresponsibility. The embryo grows, the egg shell cracks, and the
serpent enters the garden to the surprise of almost everyone. . . .
We at CEIMSA have witnessed the callus indifference to untoward
political bullying and financial tyranny over employees in the name of
"efficiency" and "loyalty", of "economy" and "modernity". Even words
like "equality" and "democracy" loose their traditional meanings in
this
neo-liberal context and take on the connotation of
our own interchangeability and the
voluntary unconditional
loyalty to some self-aggrandizing leader. These words now assume a
life of their own --divorced from reality, they no longer can be relied
upon to delineate patterns which connect the
parts to the
whole.
Simple
variety replaces
diversity,
as rumors swarm and characters are assassinated by savvy
managers
who want nothing more than to win promotions in the topsy-turvy jungle
they have helped to create. By undermining the
total
configuration of real lived experiences
and by
promoting a neo-liberal ideology of disconnected parts,
ad nauseam,
which denies the necessity, indeed the actual existence, of society, we
find ourselves ill-equipped to understand who is doing what to whom and
why. We seem to have become blinded by the details of a fragmented
existence, the total picture about which we no longer have a clue
because we are no longer informed by our personal experiences. There
are no points of reference other than an occasional abstracted piece of
the whole,
from which we can gain no greater understanding of ourselves or of the
society which forms us.
At no time has the warning of that 18th-century democratic poet,
William Blake, seemed so pertinent :
- Thought chang'd the infinite
to a serpent, that which pitieth
- To a devouring flame; and
man fled from its face and hid
- In forests of night: then
all the eternal forests were divided
- Into earths rolling in
circles of space, that like an ocean rush'd
- And overwhelmed all except
this finite wall of flesh.
- Then was the serpent temple
form'd, image of infinite
- Shut up in finite
revolutions; and man became an Angel,
- Heaven a mighty circle
turning, God a tyrant crown'd.
-
--Europe,
a Prophecy (1794),
"Mais à part ça tout va très
bien . . . ."
Below, in items
A. through
F., we see the
wheels of liberal justice slowly turning, "Better than nothing,"
admonish the privileged; "hardly anything," reply the oppressed...
Item
A. is a recent letter to
members of the Stendhal University Conseil
de l'Adminstation (the
administrative body of the university).
Item
B. is a letter to the
association "Friends of CEIMSA" appealing for help to campaign for a
new decision concerning the liquidation of CEIMSA at Stendhal.
Item
C. is from the "Friends of
CEIMSA" Treasurer, Frédéric Méni, a letter
soliciting support for the return of CEIMSA to the Stendhal University
campus, along with the return of its 7 Ph.D. students and its web site,
which is now housed at The University of California.
Items
D.1. - D.5.
are more letters
from Professor Feeley's students at the universities of Grenoble and
Chambéry, all urging the immediate return of CEIMSA's full
status as a research center at Stendhal University in Grenoble.
D.1.= Berengère Jourdan,
undergraduate student at Grenoble 3.
D.2. = Barbara Buffet, Ph.D. student at
Chambéry.
D.3. = Louise Kamara, Ph.D. student at
Chambéry.
D.4. = Patrick Moreno, Ph.D. student at
Chambéry and teacher at Grenoble 3.
D.5. = Peterson Nnajofor, Ph.D. student at
Chambéry and teacher at the University of Pau.
Items
E.1 - E.5
represent the second wave of letters sent to the CA by supporters of
CEIMSA.
E.1. = Christina Broadus, Masters student
at Grenoble 3.
E.2. = Sheila Whittick, Maître des
Conférence at Grenoble 3.
E.3. = Ines Saaied, Ph.D. student at
Chambéry.
E.4. = Zineb Belarif, Ph.D. student at
Chambéry.
E.5. =
Jeanne-Henriette Louis, Professeur
émérite à l'Univesité d'Orléans.
Item
F.
represents another letter of support from
Chems eddine Bouchehma, PhD. student at
Chambéry.
Sincerely,
Francis McCollum Feeley
Professor of American Studies/
Director of Research
Université Stendhal
Grenoble, France
http://dimension.ucsd.edu/CEIMSA-IN-EXILE/
P.S. We invite you to join us in
our effort to "think globally and
act locally" by contributing to this movement to restore CEIMSA
on the Stendhal
University campus
in Grenoble. You can
send your letter of support to The Friends of CEIMSA Treasurer, M.
Frédéric Méni,
<frederic.meni@menicorp.com>.
ff
_______________
A.
Francis
FEELEY
aux
Collègues élus au C.A. de
l’université Stendhal
Grenoble, 13 juin 2006
Cher(e)s collègues et membres du CA,
Dans la première semaine de juillet vous allez avoir une
réunion du CA à notre université, et je vous
demande de représenter l’intérêt de notre
université, de mes droits intellectuels, et des droits de mes
sept thésards qui habitent à Grenoble mais sont
obligés de s’inscrire à l’Université de Savoie en
Chambéry pour terminer leurs thèses sous ma direction.
Je vous demande de lire sans passion et sans préjugé les
faits de cette histoire, et puis d’agir dans les intérêts
de notre université, de notre conscience professionnelle, ainsi
que dans l’intérêt des sept doctorants concernés
par la politique du Président, qui n’a pas répondu
à ma demande, depuis Septembre 2005, d’intégrer le CEIMSA
au sein du CEMRA, qu’il dirige depuis 2001, et de reconstituer le site
du CEIMSA sur le serveur de l’Université Stendhal. [Voir le
dossier complet de cette Affaire du
Scandale
à Stendhal sur le site de l'Université de Californie
à San Diego :
http://dimension.ucsd.edu/CEIMSA-IN-EXILE/.
Voici une brève histoire de ces événements depuis
mon arrivée à l’Université Stendhal :
Au printemps 2000, j'ai reçu par le CNU à Paris la
qualification pour un poste de professeur titulaire (collège A,
section 11). J'avais précédemment été
Maître de conférences pendant deux ans à
l'Université Marc Bloch de Strasbourg de septembre 1996 à
septembre 1998, à mon retour des États-Unis.
Après avoir reçu cette promotion en 2000, j'ai
déposé ma candidature dans trois universités,
l'Université Marc Bloch à Strasbourg, l'Université
François Rabelais à Tours et l'Université Stendhal
à Grenoble. J'ai été invité par les UFRs de
ces trois universités pour être interviewé et j'ai
appris par la suite que j'avais été classé en
première position par chacune des Commissions de
spécialistes de ces trois universités.
J'avais enseigné à Grenoble en tant que professeur
associé de 1994 à 1997. Ma fille aînée
était née à Grenoble en 1996 et mes
collègues m'accueillaient à nouveau pour que je vienne
enseigner de façon permanente en tant que professeur titulaire.
L'offre à l'Université Stendhal était d'autant
plus attrayante que, si je choisissais de revenir à Grenoble, on
m'invitait à créer un centre de recherches en
Études américaines.
Pour ces raisons, à la fois personnelles et
professionnelles, j'ai renoncé aux offres faites par les
universités de Strasbourg et de Tours, et accepté
d'enseigner et de créer un nouveau centre de recherches à
Grenoble. Mes collègues de Strasbourg et de Tours m'ont
exprimé leur déception, mais seulement Grenoble m'avait
donné la possibilité de créer un nouveau centre de
recherches.
En septembre 2000, je suis arrivé à Grenoble avec
ma famille. Nous avons rapidement acheté un appartement et j'ai
commencé à investir beaucoup de mon temps à
l'Université en préparant de nouveaux cours de
civilisation américaine et en développant notre nouveau
centre de recherches, le CEIMSA, qui a reçu la reconnaissance
formelle d'"équipe émergente" par le Conseil scientifique
de l'Université Stendhal. Pour les deux premières
années, j'ai obtenu une petite subvention sous la forme d'un BQR
du Conseil scientifique.
Après beaucoup d'efforts de ma part et avec l'aide du Conseil
scientifique (alors sous la direction du Professeur Pierre
Morère) et le soutien de Madame Lise Dumasy, qui était
alors Présidente de l'Université, notre nouveau centre de
recherches a organisé son premier colloque international en
janvier 2002.
Ce grand projet a de l'avis de tous été un succès
: durant les deux jours, le colloque a attiré plus de 1200
participants, de Grenoble, de toute la France et de l'étranger
pour débattre de l'impact social des grandes entreprises
américaines. Plus d'une douzaine de chercheurs venus de
différents pays ont présenté leurs recherches
à ce colloque et leurs communications ont été par
la suite publiées dans un livre de plus de 500 pages
"Publications des Actes", disponible gratuitement sur le site Internet
du CEIMSA <
http://www.u-grenoble3.fr/ciesimsa>
L'année suivante, 2002-2003, CEIMSA a continué
d'organiser de petits colloques (tous décrits sur le site du
centre). A la fin de l'année, notre centre a de nouveau
organisé un grand colloque international, utilisant les fonds
octroyés par le CS sur les ressources du BQR. C'est en mai 2003
que Howard Zinn et John Gerassi sont venus à Grenoble rejoindre
plusieurs spécialistes français pour deux journées
d'études organisées sur le thème "l'Autre
côté de l'Amérique", durant lesquelles des
débats sur les mouvements dissidents contemporains aux
Etats-Unis ont attiré plus de 2000 participants.
A nouveau, durant l'année 2003-2004, le CEIMSA a
organisé de petites rencontres autour de sujets variés:
l'écrivain afro-américain Richard Wright, et le
début du mouvement syndical aux Etats-Unis. A la fin de
l'année, notre centre a tenu son troisième colloque
annuel et a attiré à nouveau plus de 1000 participants
sur le campus les 21 et 22 avril 2004. Ce troisième colloque sur
"l'état contemporain de la culture politique américaine"
a été animé par des populistes américains
célèbres, Jim Hightower et Susan DeMarco, venus d'Austin
au Texas, et les peintures d'une artiste pacifiste du Michigan, Joanna
Learner, ont été exposées; des chercheurs et
journalistes connus, venus de Paris, Lyon, Montpellier et
Chambéry ont participé aux travaux. Pour couvrir les
frais de ce colloque, le CEIMSA a reçu une subvention
généreuse de « Un Tramway nommé Culture
».
En plus de l'organisation de ce grand colloque international, le
CEIMSA a entrepris de diriger la traduction française du
célèbre livre de Jim Hightower, "Thieves in High Places",
un livre de 460 pages qui a été publié juste avant
le colloque et qui est maintenant en vente en France, en Belgique et au
Canada. [Voir :
Ces
truands
qui nous gouvernent.]
Aujourd'hui le Vice-président Michel Lafon (au conseil
scientifique) et le Président Patrick Chézaud ont
adopté une politique de « terre brûlée
» qui va mettre complètement fin à notre centre de
recherches, le CEIMSA, malgré trois années de
réels succès.
En janvier 2003, le Ministère de l'Education nationale a
rejeté ma demande de reconnaissance formelle pour la raison que
le CEIMSA avait trop peu de membres: un professeur, trois maîtres
de conférences et un doctorant (J'étais le seul membre de
ce centre qui publiait des articles scientifiques
régulièrement). Cependant, le Ministère en
même temps qu'il exprimait cet
avis défavorable,
suggéra à Mme Dumasy que le CEIMSA fasse appel de cette
décision en montrant qu'un réseau permanent était
en train d'être constitué reliant le CEIMSA et d'autres
universités françaises. Un tel réseau devait
servir à assurer au Ministère qu'à l'avenir un
plus grand nombre de recherches conduirait à un plus grand
nombre de publications par notre centre à Grenoble.
Malheureusement, le temps accordé pour faire appel était
très court et je n'ai pas réussi à le faire avant
la date limite. En conséquence, Madame Dumasy m'a donné
le choix: a) de dissoudre mon centre de recherches b) de
fusionner avec un autre centre de recherches et elle a
suggéré que l'équipe dirigée par Michel
Lafon à l'Institut des langues et culture de l'Europe (I.L.C.E.)
serait l'affiliation la meilleure ou c) de continuer à
fonctionner comme un centre indépendant pendant deux
années supplémentaires (2003-2005) et de chercher
à organiser un réseau permanent avec d'autres
universités de la région. J'ai alors choisi la
troisième option et commencé à développer
ce réseau. Deux chercheurs en civilisation américaines,
le professeur Larry Portis de l'Université de Montpellier et
Jean-Marie Ruiz de l'Université de Savoie à
Chambéry sont venus travailler en étroite collaboration
ave le CEIMSA et tous les deux ont fait récemment des
communications au colloque d'avril 2004 cette année, l'un sur la
relation privilégiée entre les E.U. et Israel, et l'autre
sur les livres de Michael Moore, qui seront publiées cet
été par le CEIMSA.
Malgré cet accord entre la Présidente Dumasy et
moi-même en 2003, malgré le fait que le CEIMSA s'est
employé en toute bonne foi à constituer un réseau
régional légitime et digne d'être
présenté au Ministère en 2005, et malgré la
série de succès importants qu'a connus notre centre
d'Etudes américaines à Grenoble pendant les trois
dernières années, l'administration actuelle de
l'Université Stendhal a déclaré son intention de
« mettre en extinction » ce centre immédiatement,
rompant ainsi l'engagement pris par l'ancienne présidente, Lise
Dumasy.
La liquidation du CEIMSA représente la violation d'une promesse
faite au printemps 2003. Elle représente aussi une
décision de réduire le programme d'Etudes
américaines à l'Université Stendhal au moment
même où il attirait plus de doctorants à Grenoble
et développait une réputation internationale. La preuve
la plus récente en est que l'Université du Texas à
Austin a tenu a ce que je fasse personnellement, en tant que directeur
du CEIMSA de Grenoble, un cours sur la politique
étrangère des Etats-Unis pour un groupe
d'étudiants américains en 2004 à
l'université Stendhal, cours reconnu dans le cursus des
étudiants de l'Université du Texas à Austin.
Bref, la décision de l'administration de liquider le CEIMSA est
survenue au moment où il a pris le plus d'importance
après trois années d'activités intenses et une
série de colloques qui ont donné lieu à des
publications scientifiques.
Cette politique hostile à mon égard de la part des plus
hautes autorités de l'université m'aurait privé de
doctorants et m'aurait empêché d'organiser des colloques
si je ne m'étais pas tourné vers mes collègues de
Chambéry et si je n'avais pas reçu le soutien de
l'Université de Savoie, grâce à laquelle j'ai pu
organiser un autre colloque international sur « l'histoire des
mouvements pacifistes aux Etats-Unis », les 5, 6 et 7 avril 2006.
De même j’aurais été privé de tous mes
moyens pédagogiques si l’université de Californie n’avait
pas accepté d’héberger mon site de recherche.
L'Université Stendhal et les étudiants en civilisation
américaine de Grenoble seront les grands perdants si cette
décision est maintenue.
Pour toutes ces raison je vous demande d'annuler la décision de
mettre fin au CEIMSA et de donner à ce centre de recherches les
moyens de continuer ses activités, pour remplir ses importantes
missions pédagogiques et scientifiques à
l'Université Stendhal.
Je suis reconnaissant envers tous ceux qui ont pris la défense
du CEIMSA et j'espère pouvoir débattre avec vous de
toutes les questions que je viens d'évoquer dans un esprit de
franchise et d'amitié.
Très cordialement
Francis Feeley
Professeur de civilisation américaine
Université Stendhal-Grenoble3
__________________
B.
13 June 2006
Grenoble, France
Dear Friends of CEIMSA,
We are currently conducting an information campaign for the return of
CEIMSA to the Stendhal Unversity campus, along with the restoration of
its web site on the University server in Grenoble, and the return
of 7 Ph.D. students under the direction of Professor Feeley; but
who have been forced to enroll at the University of Savoie in
Chambéry.
We invite you to participate in this campaign by sending
a polite
but firm letter of support to the Treasurer of The Friends of
CEIMSA, Frédéric Méni , who will forward your
letter to members of the Administrative Council at Stendhal University,
where friends of CEIMSA intend to introduce a motion early next month
to restore the full function of our research center to the Grenoble
campus.
If you feel so inclined, please address your mail if possible in
French, or in English to :
M.
Frédéric Méni
Trésorier
des amis du CEIMSA
Étudiant
élu au Conseil de l’UFR d’Études Anglophones
Université
Stendhal-Grenoble 3
His address is : <
frederic.meni@menicorp.com>
Sincerely,
Francis McCollum Feeley
Professor of American Studies/
Director of Research
Université Stendhal-Grenoble III
http://dimension.ucsd.edu/CEIMSA-IN-EXILE/
______________
C.
From: MÉNI Frédéric
<frederic.meni@menicorp.com>
Subject: Important : Inscription à Chambéry
Bonjour à toutes et à tous,
La situation que vous connaissez en raison de la fermeture
unilatérale du centre de recherche « CEIMSA » n’est
pas acceptable.
Grace à la coopération de certains membres du Conseil
d’Administration, les difficultés auxquelles vous êtes
confrontés seront à nouveau évoquées lors
du prochain CA du mois de juillet. Il nous faut profiter des faiblesses
conjoncturelles de notre administration pour obtenir la
réintégration du « CEIMSA » et le retour de
son site Internet sur le serveur de l’Université Stendhal.
Aussi, et ce afin de nous aider à préparer un dossier
plus solide, pourriez-vous préparer une petite liste (en
quelques points) comportant les problèmes posés par cette
nécessité de vous inscrire à Chambéry
(trajets, coût…) ?
Merci de le faire le plus rapidement possible, c’est dans votre
intérêt.
Bien cordialement,
MÉNI Frédéric
Représentant étudiant au Conseil de l’UFR
d’Études Anglophones
P.S. : N’hésitez pas à me contacter pour toute
question par courriel, messagerie instantanée (
menifred@hotmail.fr) ou
par téléphone : 06 60 04 13 77
_________________________________________________________
Messages transféré pour information (envoyé
à l’adresse du Conseil) :
Vous trouverez ci-dessous une lettre de soutien du "Poet Laureate" de
la Ville de San Francisco en Californie, M. Jack Hirschman, ainsi que
le soutien du Professeur Ronald Creagh, de Montpellier.
(Ces courriels sont les témoignages écrits
des
intellectuels
et artistes
de
reconnaissance internationale. Il existe
néanmoins de nombreuses interrogations soulevées
oralement par les étudiants de l’UFR d’Études
Anglophones, pour lesquelles il n’existe par définition aucune
trace écrite.)
MÉNI Frédéric
Étudiant élu au Conseil de l’UFR d’Études
Anglophones
______________
C.1.
From Jack Hirschman, Poet
Laureate of the City of San Francisco in
the United States.
June 15, 2006
To Frederic MÉNI---
Dear Sir, I am writing in support of the Friends of CEIMSA and its
struggle to NOT be permanently
transferred away from Stendhal
University. You know of its sterling work at Stendhal, and you are not
alone. Hundreds if not thousands of others know of the fine and
important work of CEIMSA. Just visit Google for confirmation of this.
In
these troubling times, it would be tragically unfortunate if
any migration of the academic McCarthyism still practiced in the United
States should turn up in France as well.
Keep CEIMSA at Stendhal, for more than the student's sake, for the sake
of genuine academic liberty.
Respectfully,
Jack Hirschman
Poet Laureate of the City of San Francisco in the United States
______________
C.2.
De : Bertell
Ollman [mailto:obertell@netscape.net]
Envoyé
: vendredi
23 juin 2006 02:40
À
:
frederic.meni@menicorp.com
Objet
: RE:
Difficultés des thésards (suite)
Dear Frederic MÉNI,
I would like to add my
words of support for the superb job Prof. Francis Feeley has done in
making CEIMSA one of the "great" intellectual centers for the study of
American society and politics. And I am not restricting my glance to
those located on French soil. I should add that I understand
"greatness" in this arena in terms of the number of exciting new ideas,
insights and interpretations that comes out of the work of such
centers.
The basis of my judgment comes from having
taught and written on American politics for over 40 years (mostly at
NYU), having participated in a CEIMSA international conference on the
role of the market in the U.S. (which was, intellectually, one of the
most satisfying conferences I've ever attended), and being a frequent
contributor to and regular reader of the CEIMSA web journal (as well as
a number of similar outlets).
I find it absolutely extraordinary
that an institution of which any - and I mean any - university in the
world could be justifiably proud is being treated in such a
disrespectful way by a university administrator in France of all
places. Whatever opinion foreign scholars have held about this or that
French thinker, we have been united in the view that nowhere else were
ideas and debates over ideas taken so seriously and treated with such
respect. Were we wrong? Are we wrong now?
Is there still time to correct the injustice done to
Professor Feeley and CEIMSA, and to the reputation not just of the
Univ. of Grenoble but - and I exaggerate not one little bit - of France
itself?
Sincerely Yours,
Prof.
Bertell Ollman
Dept. of
Politics
NYU
____________
C.3.
Monsieur,
J’ai participé à divers colloques et activités
organisées par le CEIMSA du Professeur Feeley, Centre auquel je
me suis très volontiers associé.
J’ai pu apprécier la qualité des communications, la
participation véritablement internationale et le nombre
exceptionnel de participants à ces colloques universitaires.
Il serait dommage que l’Université de Grenoble se prive d’un tel
rayonnement et, pour cette raison, j’appui très fortement la
candidature du CEIMSA qui ne peut que révéler la riche
diversité des Universités de France.
Ronald Creagh
Professeur émérite
Montpellier III
_______________
D.
Bonjour,
Vous trouverez ci-dessous les témoignages des personnes à
Grenoble, qui sont concernées par les difficultés
engendrées par l’« extinction » du CEIMSA.
Cordialement,
MÉNI Frédéric
Représentant étudiant au Conseil de l’UFR
d’Études Anglophones
______________
D.1.
De : Berengere Jourdan [
mailto:bjevol@wanadoo.fr]
Envoyé : mardi 13 juin 2006 18:21
À : ce.ufranglais@u-grenoble3.fr
Objet : support au CEIMSA
A qui de droit
Je suis étudiante en LLCE Anglais et
passionnée par la Civilisation Américaine.
Je trouve incompréhensible de vouloir supprimer le
CEIMSA et son site, sachant que ce Centre de Recherche fait un travail
en profondeur et d'intérêt international sur des
thèmes comme le Pacifisme, l'anti-Impérialisme,
totalement pertinents et essentiels à la reflexion du
début du XXIème siècle.
Où va une Université qui n'ose plus
défendre les Droits de la Démocratie, d'où ne
pourraient plus surgir les pensées d'une Société
Nouvelle, et n'offrirait plus de résistance à l'Abus du
Pouvoir ?
Où va une Université qui ne peut plus
défendre son Centre de Recherche et dont les souteneurs de
thèse doivent fuir, doivent demander à être
accueillis par d'autres Universités ?
Je vous remercie de faire TOUT ce qui est
nécessaire pour sauver le CEIMSA.
Bérengère Jourdan
Etudiante de Civilisatioin américaine
Université Stendhal-Grenoble 3
_______________
D.2.
De : barbara buffet [
mailto:bbuffet74@yahoo.com]
Envoyé : mardi 13 juin 2006
À : frederic.meni@menicorp.com
Objet : Re: Important : Inscription à Chambéry
Nous nous inscrivons par
courrier, mais parfois on nous 'oublie' et nous n'avons pas toutes les
infos. A cause de l'éloignement géographique, nous ne
sommes pas 'réelement' intégrés à une
communauté de chercheurs, ni même avec notre propre
laboratoire localisé à Chambéry, malgré
leur bonne volonté.
Nos colloques se déroulent
à chambéry et nos
déplacement ne sont pas pris en charge puisque nous sommes
censés être de cette université.
Nous avons organisé une conférence là-bas mais
n'avons pas pu en faire réelement la publicité, toujours
pour les même raisons. Grâce à des contacts (mais
seront-ils encore là l'année prochaine?), nous disposons
des même droits que les doctorants de stendhal à la BU.
Notre sécurité sociale
est elle aussi à
chambéry. Nous passons notre temps sur le campus de Grenoble
mais y sommes des étrangers et cela, personnellement me peine
beaucoup ayant effectuee tout mon curcus là bas.
Doctorante en 3ème
année (à la rentrée),
maman d'une petite fille de 1 an et surveillante à mi -temps
à Grenoble, vous comprendrez aisement que mon temps est
très précieux.
Merci beaucoup pour votre aide, nous
avons besoin de
vous!
Melle Buffet Barbara
Doctorante à
lUniversité de Savoie.
Membre du CIEMSA.
_________
D.3.
De : louise kamara [
mailto:kamaralouise@hotmail.com]
Envoyé : jeudi 15 juin 2006 14:28
À : frederic.meni@menicorp.com
Objet : RE: Important : Inscription à Chambéry
Bonjour,
Je m'appelle Louise Kamara, je suis étudiante en Doctorat
Études Anglophones. Je suis inscrite à
l'Université de Chambéry car mon professeur de
thèse est Monsieur Feeley.
J'écris ce message pour demander le retour des thésards
de Monsieur Feeley à l'Université Stendhal et la
réouverture du CEIMSA. A mon avis il est dommage que nous qui
avons fait notre licence, maitrise et Master II à
l'Université Stendhal, soyons obligés d'aller nous
inscrire à Chambéry pour des raisons qu'on ne comprend
pas vraiment. En ce moment nous avons des difficultés pour
assister aux séminaires à Chambéry car nous avons
des engagements à Grenoble. Je pense que les responsables de
l'Université Stendhal devraient enterrer la hache de guerre et
penser aux intérêts des étudiants. J’espère
que notre demande sera vraiment prise en compte
Louise Kamara
_______
D.4.
De : patrick moreno [
mailto:patrickfmoreno@yahoo.fr]
Envoyé : jeudi 15 juin 2006 09:45
À : frederic.meni@menicorp.com
Objet : Re: Important : Inscription à Chambéry
Salut Fred,
Excuse-moi du retard de cette réponse mais je suis en panne
d'internet chez moi. Je dois venir au campus pour consulter mes mails.
Pour te répondre au sujet des inconvénients pour moi:
avant la fermeture du centre, étant donné que je suis
employé de Stendhal je bénéficiais de frais
d'inscription en thèse pour employé (vu que je suis sur
un poste de PRAG), c'est à dire environs 28 euros. Maintenant
que je dois m'inscrire à Chambéry, je dois payer 300 par
an; lorsque je m'inscrirai pour l'année prochaine, si une
dérogation m'est autorisée, la fermeture du centre m'aura
coûté 600 euros, de ma poche. En plus, Chambéry
insiste que nous obtenions des crédits chez eux par diverses
manières, soit en suivant des formations, soit en assistant
à des colloques, soit en suivant des séminaires: or, vu
mon emplois du temps plein en tant qu'enseignant à Stendhal
pendant l'année ceci est très difficile pour moi, et je
ne crois pas pouvoir satisfaire cette obligation à
Chambéry; bref, je peux dire que la fermeture du centre a
affecté d'une manière très néfaste mon
statut de doctorant.
Merci pour tous tes efforts,
Patrick Moreno
______________
D.5.
De : ozioma nnajiofor [
mailto:oziom@yahoo.co.uk]
Envoyé : jeudi 15 juin 2006 13:23
À : frederic.meni@menicorp.com
Objet : Re: Important : Inscription à Chambéry
Bonjour Fred,
Merci beaucoup pour l'excellent travail que tu fais. Je t'envoie
ci-joint ma lettre au Conseil, et je te remercie d'avance pour ton
intervention à cette réunion.
Du Courage, bonne journée et à bientôt,
Peterson.
« Mesdames, Messieurs,
Du Nigeria, j’ai choisi de venir continuer mes études à
Grenoble, après avoir comparé Grenoble aux autres
facultés et villes universitaires françaises. Je n’ai pas
regretté ce choix, au contraire, j’en étais très
heureux, jusqu’au jour où j’ai appris la fermeture du
laboratoire de CEIMSA au sein duquel je m’étais
intégré pour mes recherches de troisième cycle. En
effet je préparais le mémoire de DEA au mois de juin 2004
lorsque le centre et le site internet ont été
fermés, et cela sans préavis aux étudiants
utilisateurs du centre. Je dois vous dire que ceci a retardé mes
travaux de recherche et m’a obligé à repousser la date de
soutenance au mois de septembre.
Après la soutenance en septembre 2004, j’ai fait une demande
d’inscription en doctorat en temps et en heure. Avec les bons
résultats que j’avais obtenus en DEA, je ne doutais pas d’une
réponse positive de la part de l’école doctorale de
l’Université Stendhal. Cependant, j’attends toujours la
réponse de l’université, et ce, après 2 ans.
Entre temps, je me suis inscrit avec mes anciens collègues de
DEA à l’Université de Savoie qui m’a accueilli sans
problèmes. Mais malgré leur bonne volonté, ce
n’était pas facile pour moi d’assister aux séminaires et
aux colloques obligatoires, vu la distances entre Grenoble,
Chambéry et Annecy. Alors j’ai passé la première
année sans assister aux colloques. J’espérais que ce
malentendu à Grenoble allait se régler très
rapidement, mais 2 ans se sont déjà écoulés
et la situation n’évolue pas.
Vu les circonstances difficiles et un peu obscures de la fermeture de
notre laboratoire – en effet, à nous, étudiants,
l’université n’a jamais été en mesure d’expliquer
les raisons de cette fermeture et elle ne s’est pas excusée des
dommages engendrés-, je vous demande donc, mesdames et
messieurs, de faire le nécessaire pour rétablir le centre
de recherche de CEIMSA et de son site internet. Ce ne serait que
justice surtout pour nous étudiants, qui sommes concernés
au premier plan.
Je vous serai gré de me répondre car je commence à
avoir l’impression qu’il y a plus que des problèmes
d’administration dans cette affaire. L’université, si elle pense
avoir bien agi, ne trouverait en effet, aucune difficulté
à expliquer ses actions et décisions à ses
étudiants.
Veuillez agréer mesdames, messieurs, l’expression de ma plus
sincère incompréhension et lassitude.
NNAJIOFOR Peterson. »
E.
Madame,
Mademoiselle, Monsieur,
Vous
trouverez ci-dessous la suite des témoignages des personnes
concernées par les difficultés engendrées par
l’« extinction » du CEIMSA, ainsi qu’une lettre
de soutien du Professeur Sheila Whittick.
Cordialement,
MÉNI
Frédéric
Représentant
étudiant élu au Conseil de l’UFR d’Études
Anglophones
ST MARTIN D’HÈRES,
le 17 juin 2006
Chers collègues,
Je vous écris aujourd’hui pour déclarer mon soutien pour
notre centre de recherche, le CEIMSA. Je mets l’accent sur notre
centre de recherche car un tel établissement doit d’abord
appartenir à ceux qui le font vivre.
Cela fait maintenant deux ans que le centre soit fermé avec seul
résultat, le pourrissement de l’ambiance académique au
sein du département des études anglophones, et personne
ne bénéficie de ce renversement. Ce conflit a
divisé notamment le corps enseignant en deux camps, les
pro-Feeley et les anti-Feeley, un camp qui comprend également
ceux qui ont peur de réagir contre la décision de
l’administration toute-puissante. La division ne fait qu’affaiblir une
force, même la plus ferme. Si nous arrêtions de
s’entre-dévorer, combien plus forte serait notre
université, combien plus marquants seraient nos contributions
à la recherche et notre avancement intellectuel ?
Sûrement encore plus que ce qu’ils sont à l’heure actuelle.
Notre université jouit d’un cadre unique : nous nous
trouvons au sein d’une région très riche et en plein
essor. Notre département se place en tête des plus
agréables en France. Notre ville, Grenoble, peut se vanter d’une
grande diversité, dans sa population municipale comme dans son
monde universitaire. Nous nous devons d’en profiter et de faire briller
notre richesse. Le CEIMSA fait partie de nos biens ; il sera
dommage de le perdre définitivement, surtout au profit des
autres villes universitaires quand la notre pourrait devenir si
renommée pour ses travaux en sciences humaines et sociales comme
elle l’est déjà pour ses avancements scientifiques.
Depuis les États-Unis, j’ai fait mon choix de venir
étudier à l’Université Stendhal grâce
à son centre de recherche si prometteur, une qualité
majeure qui m’a attirée. Combien d’autres étudiants
potentiels se trouvent actuellement dans un cas similaire, à
faire un choix entre plusieurs universités ? Nous ne devons
pas les repousser par des fermetures incompréhensibles et sans
raison logique. La reconstitution du CEIMSA à
l’Université Stendhal ne sera qu’une action positive pour la
croissance de notre faculté, et surtout pour ses
étudiants.
Merci,
Christina BROADUS
Étudiante en M2
Civilisation américaine
Future doctorante (à
l’Université Stendhal, j’espère)
E.2.
De :
WhittickS@aol.com [mailto:WhittickS@aol.com]
Envoyé : dimanche 18 juin 2006 19:41
À : frederic.meni@menicorp.com
Objet : CEIMSA
J’aimerais,
par la présente, apporter mon soutien à la demande de
Francis Feeley pour la réintégration de son centre de
centre de recherche, le CEIMSA, à l’Université Stendhal,
et cela pour plusieurs raisons.
Tout
d’abord, comme leurs témoignages l’affirment, l’obligation de
s’inscrire à Chambéry afin de pouvoir poursuivre leurs
études doctorales constitue un handicap non négligeable
pour les thésards de Francis Feeley.
Mais
les étudiants ne sont pas les seuls à être
désavantagés par la situation actuelle, la perte de ces
sept doctorants à l’Université de Savoie nuit
également aux intérêts de l’UFR d’Études
Anglophones. Produire (ou accueillir) des thésards est,
après tout une démonstration de la bonne
santé intellectuelle, du dynamisme pédagogique d’une UFR.
Laisser fuir un pourcentage aussi important d’étudiants du
troisième cycle, par contre, nous affaiblit
considérablement.
Et
puis, la réputation de notre université est en jeu. Toute
université digne de ce nom se doit d’être un lieu
d’excellence académique, d’ouverture d’esprit, de liberté
d’expression. Or, quelles qu’aient pu être les justifications
bureaucratiques du Conseil Scientifique de l’Université Stendhal
pour la suppression du CEIMSA, la décision de fermer ce centre
de recherche (petit et atypique, certes, mais plein d’énergie et
un véritable pôle d’attractions pour de nombreux
intellectuels du monde entier) va précisément
à l’encontre de toutes ces valeurs.
Il
est temps, donc, de mettre fin aux hostilités du passé et
de se focaliser sur l’avenir de nos étudiants, de l’UFR
d’Études Anglophones, de notre université.
J’espère donc que la raison prévaudra enfin et que le
CEIMSA retrouvera bientôt la place qu’il n’aura jamais dû
quitter, au sein de l’Université Stendhal.
Sheila
Whittick
E.3.
De : saaied
ines [mailto:bannous2002@caramail.com]
Envoyé : vendredi 16 juin 2006 15:24
À : MÉNI Frédéric
Objet : BJR
Bonjour
Frédéric,
Mon
nom est Mlle Inès Saaied. Je suis aussi doctorante à
l'université de Savoie depuis novembre 2005 sous la direction de
M. Francis Feeley. Comme tous les doctorants dans ma situation, j'ai
commencé à subir la fermeture de notre centre de
recherche depuis l'année de mon DEA en 2004. Je trouve que
c'est très injuste d'avoir été obligée de
m'inscrire à l'université de Savoie. Ceci me pose
beaucoup de problèmes comme à la plupart de mes
camarades. Déjà je trouve que leur inscription est
vraiment très chère. J'ai payé 530 euros
l'année dernière. Je trouve aussi qu'on est
confronté à un problème majeur; on ne peut pas
assister ni aux conférences, ni aux séminaires parce que
la plupart de nous travaillent et font leur vie à Grenoble et
surtout ne peuvent pas se permettre de se déplacer
régulièrement à Chambéry.
J'appelle
tout le temps Mme Caroline Henry à l'EDUS de Chambéry
mais je n'ai pas toujours des réponses concrètes à
mes questions. On est tous vraiment perdu et on s'accroche le maximum
pour finir notre thèse mais rien autour de nous n'est vraiment
très encourageant.
Alors,
je pense qu'il est vraiment temps d'arrêter cette censure et
penser un peu aux intérêts des étudiants.
Saaied
Inès
E.4.
De : zineb
belarif [mailto:miszineb@yahoo.fr]
Envoyé : vendredi 16 juin 2006 22:12
À : frederic.meni@menicorp.com
Objet : POUR CEIMSA
Bonjour,
Je
suis une étudiante doctorante sous la direction de Mr Feeley, je
m’appelle Zineb Belarif, j ‘ai choisi la France pour effectuer mes
recherches car c’était l’un des pays les plus sollicités
grâce à sa réputation. Organisation, niveau et
justice sont les trois premiers points qui m’on attirée et me
voilà confrontée a un problème aussi
compliqué et si incompréhensible . Notre centre de
recherche était très utile pour nous tous, moi
personnellement j’ai choisi cette
spécialité "études de civilisation
américaines" car on a un manque terrible de professeurs de cette
matière dans mon pays d’origine «
Algérie » mais avec ses démarches
inacceptables de la part de l’administration universitaire me
voilà donc privée de la seule source valable et
indispensable pour ma thèse. Je vous écris pour vous
demander de bien vouloir soigneusement regarder et traiter notre
affaire : acceptez notre centre de recherches CEIMSA, rediriger
tout les thésards à Stendhal et puis à la fin nous
faire plus de confiance car nous on est sincères et on veux
vraiment réussir nos projets de recherches .
Dans
l’attente d’une suite très favorable, veuillez agréer mes
salutation les plus distinguées.
Zineb
Belarif
__________________________________________________________________________________________________________________________
E.5.
Sent: Saturday, June 17, 2006 9:20 AM
Subject: le sort du CEIMSA
Jeanne-Henriette Louis
Professeur émérite de
Civilisation nord-américaine à l'Université
d'Orléans.
Bonjour,
Je souhaite apporter mon témoignage en
faveur des activités de Francis Feeley et du CEIMSA. dans le
domaine de la recherche.J'ai assisté à plusieurs
colloques internationaux du CEIMSA à Grenoble, et j'ai
participé au Colloque de Chambéry en avril 2006 en
faisant une communication. Tous ces colloques sont très
intéressants. ils constituent une dynamique très vivante.
Or la situation actuelle est très pénible pour Francis
Feeley et pour ses étudiants, en particulier ses
Doctorants.Certes il est heureux que l'Université de Savoie
à Chambéry soit aussi accueillante, mais que de
complications pour tout le monde alors que l'Université Stendhal
devrait être fière d'héberger le site web et les
travaux du CEIMSA!
Cette situation n'a que trop duré.
J'espère que l'Université Stendhal prendra très
prochainement conscience de cette injustice et y remédiera.
Avec mes meilleures salutations,
J.H. Louis
F.
Madame,
Mademoiselle, Monsieur,
Vous
trouverez ci-dessous le
témoignage de Chems Eddine BOUCHEHMA concerné par les
difficultés engendrées par
l’« extinction » du CEIMSA.
Cordialement,
MÉNI
Frédéric
Représentant étudiant
élu au Conseil de l’UFR d’Études Anglophones
_______________________________________
F.1.
De :
Chems edine Bouchehma [mailto:b_chems@yahoo.fr]
Envoyé :
mercredi 21 juin 2006 04:29
À : frederic.meni@menicorp.com
Objet : lettre de soutien pour la réouverture de
CEISMA
Bonjour,
Je
vous prie de bien vouloir accorder, mon soutien a la demande de M.
Francis FEELEY pour la réouverture du centre de recherche le
CEISMA à l'université Stendhal. Un centre qui est
nécessaire et très utile a nous étudiants et
thésards.
Je
m'appelle Chems Eddine BOUCHEHMA doctorant inscrit a
l'université de Chambéry sous la direction de M. Francis
FEELEY professeur a l'université Stendhal. Me voila
aujourd'hui me retrouve involontairement a l'université de
Chambéry après trois ans d'études à
l'université Stendhal suite a la fermeture injustifiable du
CEISMA à Grenoble.
Sincèrement,
je le trouve injuste qu'un groupe de thésards cherche refuge
à l'université de Chambéry, alors qu'il
était préférable que l'université d'origine
accueillit ces étudiants au Sein du CEISMA .
Le
CEISMA sous la direction de M. Francis FEELEY avait démontre sa
disponibilité au service de nous étudiants de la
civilisation américaines par l'organisation de divers
séminaires internationaux, qui étaient un espace de
débat et de discussion scientifique. Sans oublier l'importance
du site CEISMA et sa contribution comme une fenêtre sur le monde
américaniste.
Bref,
en ce moment nous thésards et moi personnellement je trouve des
difficultés pour assister aux séminaires à
Chambéry afin de valider un nombre de crédits, car j'ai
des engagements professionnelle ici a Grenoble.
L'université
Stendhal était toujours au service de la recherche et des
chercheurs pour cela nous adressons à vous responsables de
l'université Stendhal d'accepter la demande de M. Francis FEELEY
qui se conjugue avec la volonté et l'espoir de nous
étudiants et thésards.
J'espère
que notre demande sera vraiment prise en compte.
Cordialement,
Chems eddine BOUCHEHMA